« Sylvia », hier soir, au Théâtre national

Une pièce

magique, 

magnifique, 

profonde, 

fine conte,  raconte Sylvia.

 

Et nous, charmés, impressionnés, profondément touchés par cette grande petite dame qui voulait juste écrire, suivre sa trajectoire, être comprise…

 

« Ce que je redoute le plus, je crois, c’est la mort de l’imagination. Quad le ciel dehors, se contente d’être rose, et les toits des maisons noirs ; cet esprit photographique qui, paradoxalement, dit la vérité, mais la vérité vaine, sur le monde. »

Carnets intimes – Sylvia Plath